Newsletter
Inscrivez-vous et soyez informé des news et offres importantes de chaque jour.
Agriculture et santé |
---|
Politique et développement |
Sciences et Développement |
A la une |
Editorial |
Tribune |
Appels d'offres et offres d'emploi |
Rubrique universitaire |
Pour ceux qui suivent de loin la situation qui se passe au Nord-Kivu, vous risquez d’être tenté de croire qu’il s’agit d’une pièce de théâtre, mais retenez que chaque jour, des paisibles citoyens sont massacrés, des femmes violées, des exploitations agricoles abandonnées ou vandalisées, un calvaire pour ces populations qui ne dit pas son nom.
Le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku a annoncé l’enlèvement de près de 16 civils parmi lesquels un nourrisson par les présumés combattants ADF au cours d’une attaque dans la cité d’Oicha, à une trentaine de kilomètres au nord de la ville de Beni (Nord-Kivu), ce lundi.
Lors de cette attaque, une position de FARDC était également incendiée par les combattants. Question : où était l’armée lorsque les combattants venaient incendiés leur position dans une région à haut risque ? Quelles sont les contraintes qui empêchent l’armée nationale et les forces de la Monusco à sécuriser un espace comme celui-là ?
Le silence des institutions de la République démocratique du Congo face aux massacres répétés des populations civiles n’est pas acceptable. Depuis 2014, des civils sont tués comme des mouches dans la région du Nord-Kivu pour des intérêts de quelques individus. Trop c’est vraiment trop.
La Rédaction, le 27 septembre 2018
Vous pouvez télécharger ce document ici :
Chers lecteurs, les commentaires déposés n'engagent nullement eadev-agro-congo.com. Néanmoins, pour conserver un espace instructif et informatif, eadev-agro-congo.com se réserve le droit de supprimer tout commentaire indésirable ou contraire aux valeurs morales